DÉCÈS

Vaut mieux prévenir que guérir. C'est ce qu'on pourrait conclure. Dans la commune de Tchaourou, un homme de 40 ans meurt après avoir reçu un coup de machette de la part de son ami. Ce dernier n’a pas supporté de le voir couché auprès de sa femme sur une natte dans la cour de la maison. Crime passionnel dans la ville de Tchaourou, à plus de 350 kilomètres de Cotonou. Un cultivateur de 35 ans tue son ami parce que celui-ci était allongé auprès de sa femme sur une natte. Il a vu la scène lorsqu’il est rentré aux environs de 23 heures. Irrité par ce qu’il a vu, le cultivateur se sert de sa machette pour s’en prendre à son ami. Il lui assène un violent coup de machette dans le cou. Selon Frissons radio, l’homme a pris la clé des champs après l’acte. La victime quant à elle n’a pas tenu longtemps. Il a succombé à sa blessure ; l’examen médical évoque une mort violente après une hémorragie.

Amoureux du trône, de l'honneur et des délices présidentielles, Itno Idriss DÉBY est Président du Tchad depuis trente ans. Rebelle à l'alternance au sommet de l'État, il vient d'être réélu pour la sixième (6ème) fois comme président de la République étant donné qu'aucun autre fils du Tchad n'a ce charisme de diriger ce Pays. Le président Deby Itno avait été officiellement validé vainqueur des élections présidentielles du 11 avril ce mardi par la Commission électorale nationale indépendante avec 79,32% des voix. Un ensemble de voix non conforme à l'opinion des opposants politiques qui pensent qu'il s'agit d'une fausse manipulation des chiffres. D'après l'analyse des réactions des Constitutionnalistes de Tchad, des différents intellectuels du pays, cette mort serait un coup d'État silencieux et sans bruit dans laquelle serait impliqué le fils même du Président, qui jusqu'à nouvel ordre, décide de prendre la tête de la gestion du Pays avec une équipe de Militaires en qui il a confiance. Cette pratique suspecte, va à l'encontre de la constitution du Tchad et enfante sur les réseaux sociaux polémiques et incompréhensions. Faut-il le rappeler ? Cette mort a été causée par une balle reçue au côté droit de son crâne et qui revêt d'un assassinat. Il serait visé par un des leurs qui l'attendait justement sur le champ de bataille. Notre informateur du Tchad a souligné que pour <<éviter des soulèvements et des discrédits auprès des pays étrangers, ils ont choisi de camoufler les circonstances dans lesquelles le Président Idriss DÉBY est mort.>>

La semaine dernière a été marquée par un évènement très tragique dans la commune de Zè: le décès sans prévention de l'ancien Maire de Zè, feu Joseph DANGBÉNON, un homme de cœur qui, désormais, ne pourra qu'être cité dans l'histoire. Touchés par cette nouvelle, les natifs de Zè, cadres, politiciens, artistes et artisans, religieux et autres catégories de personnes ont voulu ne pas rester dans le silence. Dans la journée du vendredi 09 octobre 2020, une forte délégation du corps Union Progressiste avec à sa tête les ministres Barnabé DASSIGLI, Étienne KOSSI et l'honorable Noutaï Nestor ont rendu visite à la famille endeuillée, une famille qui n'est autre que la leur. À l'instar de l'artiste Princesse DOSSI et le Docteur ALLANONTO, les autorités de la sixième circonscription électorale ont présenté leurs condoléances les plus distinguées. Ils n'ont pas oublié de réconforter leurs frères et sœurs de la famille touchée par le deuil. Par ce geste fraternel, on note que dans la joie comme dans le deuil, les natifs de la commune de Zè se soutiennent les uns et les autres. Voilà bien ce qui fait leur force.