LA PROMOTION DE LA TRANSHUMANCE POLITIQUE AU SOMMET DE L'ÉTAT

Un gros poisson politique à la tête de deux grands partis politiques au Bénin. Le rejet d'un crapaud par dessus une clôture ne l'empêchera, sans doute, de vivre. Mais à condition que ce milieu où il est jeté soit un endroit vivable. Cette philosophie s'étend également chez l'un des plus grands hommes politiques Béninois. Et l'on remarque que, même si entre temps, le compétiteur-né, son excellence Monsieur Patrice TALON, réformateur des lois, avait promis lutter contre la transhumance politique, il ne serait plus question de respecter cet article du code électoral béninois interdisant la transhumance politique. Pour gagner en politique, tous les moyens sont bons, pourrait-on conclure. Même s'il faut, si possible, tordre le cou à la Constitution proprement mise en place. Cette belle action ne serait pas sans conséquence sur les autres membres de ces deux partis. Car jusqu'à présent, aucun homme politique membre de l'un de ces partis n'a eu aucun courage et n'a reçu aucun soutien à la base afin de se déclarer officiellement candidat. Serait-ce un moyen de protection pour sa propre vie ? Seul Dieu pourra le dire. Mais pour l'instant, il sera très important, d'analyser dans son anti-chambre les situations politiques du Bénin, autrefois, pays démocratique.