ALERTE GÉNÉRALE

Depuis quelques jours, les Nigerians disposant d'un visa tourisme n'ont plus accès d'entrée en France. Après les cris de détresses lancés par les Nigérians à leur gouvernement, le Président du géant Nigeria, le plus grand Pays de l'ouest, réellement indépendant en Afrique, a répondu à Macron sans mot dire. Il a ordonné à ce qu'aucun Avion AIR-FRANCE n'atterrise sur son territoire. Ce que les Français n'ont pas supporté pendant vingt-quatre heures. Dans une lettre dûment signée par le Ministère de transition écologique et solidaire, l'État français supplie le Nigéria pour la levée de cette décision et promet rapidement faire de même. Même si certains Présidents Africains profitent de la protection de singe à eux accordée par la France pour tuer leur démocratie et leurs peuples, d'autres sont dignes de confiance et sont capables de répondre à la souffrance de leurs citoyens.

De la politique à la musicalité, les autorités Maliennes ne veulent plus commettre l'injustice. Dans aucun secteur d'ailleurs. Accusé d’avoir chambré et maltraité son ex-compagne, Sidiki Diabaté, le célèbre artiste Malien a été placé sous ce mandat de dépôt, ce jeudi 24 septembre. Il passera sa première nuit à la prison centrale de Bamako Coura. Premier "BRUCE LEE" en milieu musical en Afrique, Sidiki Diabaté a encore, une fois, fait preuve de professionnalisme malsain, en maltraitant son ex pour des raisons inconnues. D'après les informations relatives à la scène de tentative presque de meurtres, le jeune artiste ne serait pas à son premier forfait. En effet, frapper cette femme serait son passe-temps. Les images de la dernière scène montrent clairement que le jeune artiste a besoin d'être réorienté. Autrement, recadré afin de n'être un cas social et hors la loi. C'est donc l'objectif visé par les autorités compétentes de Mali, Pays en en situation, en mettant le chanteur en prison pour quelques temps. Pour aller plus loin, sa maison de production a levé sa signature et la carrière du jeune Sidiki serait actuellement en danger.

Venu de nulle part pour réduire les êtres humains vivants à la surface de la terre, le coronavirus a déjà tué des centaines de milliers d'hommes, toutes races confondues. Un sommeil cauchemardesque trouva désormais refuges dans le monde de la science. Presque tous les vrais hommes scientifiques et biologistes ont commencé par travailler afin de trouver des vrais vaccins à appliquer non seulement aux Africains noirs mais aussi aux blancs. Les élèves encore sur les bancs, particulièrement des collèges et lycées du Mono (République du Bénin), n'ont pas manqué d'agir dans le sens de la lutte contre la COVID19. Pour eux, enceinter et se faire enceinter seraient les seuls moyens pour contrer à juste pieds le coronavirus. Un moyen très simple pour combler le vide laissé par le taux élevé de mortalité. C'est plus tôt la leçon qu'on peut retenir des 57 cas de grossesses signalés dans ces collèges et lycées. Reste à savoir la méthodologie adoptée pour appliquer la mesure barrière parlant des deux mètres ou un mètre. De même, à l'allure où monte le taux de grossesses en milieu scolaire, il serait très important que le gouvernement crée des collèges réservés uniquement aux filles enceintes. Des collèges où l'éducation familiale et sociale et le cours de sexualité seront les matières principales.

LE SEXE DES DOYENS, CHEFS DE FAMILLE, DÉCHAÎNÉ CONTRE LES STAGIAIRES ET FEMMES MARIÉES EN SERVICE À L'ORTB. Depuis quelques heures, des voix ne cessent de réclamer justice. Les femmes sont désormais moins en sécurité dans certains lieux publiques. C'est au sein de l'ORTB que l'on peut lire désormais la preuve. Prises pour des objets de satisfaction partielle, les femmes en service à l'ORTB (la chaîne de référence) et les filles stagiaires baptisées "stasexes" (au lieu de stagiaires) sont contraintes de se donner aux grands chefs pour ne pas perdre leur emploi ou pour avoir un bon rapport. Fatiguées de subir une telle humiliation destructrice de foyer et peut-être source de divorce, des voix qui mouraient derrière les chantages, les tristesses et les chagrins se sont enfin fait entendre. Angela KPÉIDJA, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, n'a pas voulu finir encore ce mois de mai avant de lever le voile. C'est donc la date du premier qu'elle choisit pour dénoncer une salissure qu'elle aurait subir plusieurs fois de suite sur plusieurs générations. Une dénonciation remplie d'amertume qui n'est pas restée sans preuve. Des témoins journalistes femmes qui ont servi au même moment qu'elle, sont venues en témoigner. More Niquelle, journaliste et ancienne stagiaire de ce lieu, après avoir témoigné positive cette dénonciation, elle mentionne le nom d'un papa conseiller, Monsieur René TALON. Peut-être l'implication d'une vraie justice pourrait nous donner plus de précisions. L'illustre homme de rédaction, monsieur Aboubacar TAKOU, n'est pas resté sans indignation en face de cet acte qui salit le corps journalistique, un corps dont il est membre. Maora ALEDJO BABADOUDOU, n'a pas manqué de caricaturer cette profession complémentaire notée dans ce lieu de référence. Plusieurs autres témoignages sont venus entériner cette mauvaise nouvelle. Seule la responsabilité de l'État pourra rendre justice et faire quitter le sexe des femmes des yeux de ces vieux grincheux, pervers et rompus à la tâche dans ce domaine pornographique.

Le vent souffle toujours mal du côté de la Chine. Alors que leurs compatriotes se tordent à mourir pour raison de Coronavirus, trois Chinois, en mission au Bénin depuis sept (7) mois, ont voulu aller prendre un bol d'air dans les entre-cuisses de Ganvié. Alors que le plus mince d'entre eux voulait profiter de la beauté de ce lac, l'embarcadère construit avec la ressource du pays, le bois, avala ses deux jambes. Par la grâce de Dieu, ses fesses ont pu s'accrocher à un autre bois dont la date de sa mort serait pour bientôt. Presque tous les bois de cet embarcadère sont déjà morts. Les pose-mains ressemblent aux seins d'une somptueugénaire ou aux testicules d'un boeuf mâle entrain de bouger entre ses pattes. Les escaliers conduisant aux pirogues et barques sont comme des édentées de l'ancienne Afrique et flottent sur l'eau comme un homme attaqué par les chics aux orteils dansant le "Tipenti". Afin d'éviter que cet embarcadère ne commence par avaler les fils du Bénin, un appel est lancé au gouvernement pour qu'il vienne tuer ce grand danger.

Alors que, de jour en jour, connaît le déclin de l'hégémonie de Molière en Afrique, certains amoureux du français ne cessent de lutter pour sa résurrection. Parmi ces pays qui se battent pour la maîtrise parfaite de la langue française en Afrique, se trouve en première place le Bénin. Pour garder cette noble place, le Collège Catholique Sainte Thérèse de l'enfant Jésus a choisi d'aider le gouvernement en grande complicité avec la grande Bibliothèque implantée à Abomey-Calavi derrière l'école le Faucon. Cette bibliothèque dénommée CENTRE D'ÉTUDE ET DE RECHERCHE SAINTE THÉRÈSE a organisé durant ce mois de juin un concours de dictée. Plusieurs élèves ont participé, plusieurs parents soucieux de l'avenir de leurs enfants ont aussi fait participer leurs enfants. Ces enfants ont démontré leur talent et leur capacité à tenir l'ancre devant Victor Hugo. Ils ont tous travaillé. Mais quatre élèves ont été plus habiles en ravissant les premières places à la tête de qui se trouve la petite demoiselle de la classe de 5 ème, ADANDEDJAN Marie-Thérèse. À noter que c'est quatre premiers ne sont rien que des filles. Voicii la liste complète des lauréates. - ADANDEDJAN Marie-Thérèse : 1ère - CODJA Esther: 2 ème - DAKPOGAN Marie C. : 3 ème - KOM'KO Marlyse: 3 ème ex Une félicitation à ces élèves du premier cycle qui ont su ravir la place à leurs grands frères. La prochaine séance de concours est programmée pour juillet 2020.

Tout est parti d'une citation de l'honorable Rachidi GBADAMASSI. En effet, il y a de cela quelques jours, le député de la huitième législature en République du Bénin s'est fait prendre à ses propres mots. Voulant plus ou moins plaire et peut-être se montrer compatissant au côté du peuple, il dit ceci: "Nous avons faim, mais nous sommes heureux". Une fierté sans précédente dans la famine en République du Bénin. Cette fierté anormale serait dégoûtante et ne serait pas du tout du goût de tout le monde. Encore moins des internautes béninois qui ont pris sur eux la peine de très bien critiquer cette citation. La Banque Mondiale n'est pas restée indifférente à cette citation. Voulant justifier la malheureuse contradiction des propos du cavalier de Parakou, un internaute, membre actif du groupe YÉHOUTOTCHÉ est allé ressusciter une publication de la Banque Mondiale. Selon cette publication, "Une population instruite, en bonne santé et bien nourrie rapporte davantage à l'économie que la seule construction des routes et ponts". Cette publication, bien que vieillissante d'un an, a encore toute sa valeur dans "un Bénin affamé et heureux". S'il n'est toujours pas un crime de profiter de la liberté d'expression, ce serait alors l'heure de se permettre une analyse comparée de cette publication de la Banque Mondiale en rapport avec le Bénin. "Une population instruite": Celui qui parle d'instruire parle de compétences. Une population instruite inclurait sans doute un peuple compétent, autrement dit, une population à rendement intellectuel équilibré, qui passe sans rachats avec des notes mortelles milles fois en dessous de la moyenne. "Une population bien nourrie": C'est une population qui n'a pas faim et qui est heureuse, une population qui mange effectivement au moins les trois repas par jour sans avoir peur du lendemain. "Une population en bonne santé": il s'agit d'un peuple qui n'a aucun souci de santé ou du moins disposant des équipements de sécurité sanitaire. *LE BÉNIN SERAIT-IL À CÔTÉ DE LA PLAQUE ?* Il y a de cela quelques années, il a été confirmé par qui de droit que le Bénin est un désert de compétences, donc moins instruit. Pas plus tard que moins de deux semaines, l'honorable chevalier a confirmé que la faim a trouvé son grand refuge dans un pays heureux banalisant qu'un ventre affamé n'a point d'oreilles. Étant donné que celui qui a faim pourrait à la longue être affecté par une maladie quelconque, le Bénin aurait-il une économie menacée ? Si effectivement ces trois piliers cités par la Banque Mondiale sont les preuves d'une économie croissante d'un Pays, l'économie du Bénin serait sans doute menacée ou aurait un futur catastrophique: les constructions des routes vont bon train, les passages en classe supérieure sans une moyenne approximative à la normale au primaire (01/20, 02/20....) sans même savoir écrire et lire est la mode. La question est de savoir ce qui pourrait rapporter à l'économie Béninoise si la base est déjà si souffrante.